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mercredi 16 juillet 2014
Mariage Titanesque à 27 milliards de $ de deux géants américains pour contrer l'E-cigarette.

Mariage Titanesque à 27 milliards de $ de deux géants américains pour contrer l'E-cigarette.

Ça bouge énormément dans le secteur des bienfaiteurs de l’humanité que sont les fabricants de tabacs. Outre Atlantique, on se marie entre gens de bonne famille afin de ne pas dilapider la dot. Selon un article paru dans l’Expansion de cette semaine, le marchand de tabac Reynolds American (numéro 2 du secteur avec Camel et Pall Mall) va racheter le numéro trois, Lorillard, pour 68,88 dollars par action, soit 27,4 milliards de dollars, dette comprise.
Ce mariage de l’argent et du bronze est purement financier. Il n’a d’autre but que de contrer les ors du numéro un, Altria, connu pour détenir toutes les déclinaisons de la marque au cow-boy, Marlboro. Altria contrôle environ 50% du marché, Reynolds détient actuellement 25% des parts de marché aux Etats-Unis, Lorillard 15%. 
Ceux qui parmi vous, recherchaient du rose et du sentiment en seront pour leur frais...
L’union consanguine Reynolds-Lorillard devrait bouleverser le paysage du marché du tabac américain, qui demeure un des plus gros à l’échelle mondiale, avec des ventes estimées autour de 90 milliards de dollars en 2013.
Certainement pour des questions de loi anti-trust, l’union sacrée s’accompagnera de la vente au britannique Imperial Tobacco de plusieurs marques phares, comme Kool, Salem et Winston, pour 7,1 milliards de dollars.
Toujours selon l’Expansion, « Imperial Tobacco, qui devient ainsi un acteur majeur du marché américain, mettra aussi la main sur les unités de production de Lorillard à Greensboro (Caroline du Nord), qui emploient quelque 2.900 personnes ». Tout le monde y trouve son compte.
Ce nouveau consortium prépare son avenir, Reynolds voulant accélérer la cadence et se remettre en selle dans le secteur de la cigarette électronique où Altria est encore absent. Selon Euromonitor, cité par l’Expansion, « la cigarette électronique continue de gagner du terrain et représentait 7 milliards de dollars de ventes mondiales l’an dernier. Elle devrait atteindre les 50 milliards de dollars de ventes en 2030. Ce succès a rogné sur les parts de marché des cigarettes à combustion, dont la baisse de la courbe des ventes annuelles semble correspondre à une montée en puissance de la cigarette par vaporisation et des autres produits contenant moins de nicotine
Reynolds devrait également développer sa marque propre d’e-cigarette VUSE et partager ses technologies avec British American Tobacco (qui est également actionnaire de Reynolds) pour concevoir et commercialiser de nouvelles marques d’e-cigarettes et des cigarettes qui chauffent le tabac plutôt que de le brûler.
Les mariages comme celui-ci ne feront que retarder l’inévitable et ne résoudrons pas le problème majeur de l’Industrie de la Cigarette Analogique : que faire de tout ce tabac et des champs qui l’accompagnent quand la e-cigarette n’en contient plus du tout ?
mardi 15 juillet 2014
IECIG véritable révolution sur le marché de L'E-cigarette.

IECIG véritable révolution sur le marché de L'E-cigarette.

En alliant technologie et plaisir, QuietSmoke lance l’IECIG véritable petit bombe dans le monde des cigarettes électroniques et autre e-cigarettes mais également des objets connectés !
Outre son design classique des plus élégants, l’IECIG est paramétrable via l’application IVAP (vous pourrez l’obtenir sur les plateformes IOS ou Android) et est compatible Bluetooth 4.0 (Android à partir de 4.3 et IOS 7 à partir de l'Iphone4S).
L’application IVAP est entièrement écrite en Français et est totalement gratuite.
"L'IECIG et son application IVAP permettront aux vapoteurs férus de nouvelle technologie et d’objets connectés, mais également  à ceux soucieux de leur santé (qui peuvent être les mêmes !) de vérifier, contrôler et organiser chaque prise de vapeur, tout en suivant l’évolution de leur consommation grâce à des graphiques paramétrables" indique Christophe DESMOIRES, Chef Produit chez EM2C.
Un système de géolocalisation intégré dans l’application  IVAP permet même à l’utilisateur de savoir à quel endroit il vapote. On pourrait croire que ce système de géolocalisation fait un peu gadget ? "Si on se base sur une réelle volonté du vapoteur de diminuer sa consommation, en sachant où et quand il vapote et dans un esprit axé vers une diminution de la consommation de tabac par exemple, l’outil est indispensable" répond Christophe DESMOIRES.
Parlons technique : la connexion au Smartphone est rapide et intuitive. Quand tout est en place, le vapoteur pourra également contrôler la charge et le niveau de réserve d’énergie de sa batterie qui sera alors visible sous forme de pourcentage. Il pourra également modifier l’intensité de la vapeur en la régulant via son Smartphone et par le biais du curseur d’intensité disponible sur l’application.
La batterie de L’IECIG est au format Ego Batterie 1300maH (voltage variable 3,2V à 4,2V).
Elle peut être utilisée avec tous les clearomiseurs du marché et elle est rechargeable avec les adaptateurs USB standard.
"Le nombre de bouffées généralement constaté se situe entre 2000 à 3000, tout dépendra évidemment  de la dose de vapeur que l’utilisateur  aura réglée via l’application" précise Monsieur DESMOIRES.
Avec cette nouvelle e-cigarettes connectées, le vapoteur pourra enregistrer et suivre l’évolution de sa consommation tout en contrôlant  intelligemment sa manière de vapoter en consultant régulièrement l'application IVAP.
Et enfin, Nec plus Ultra de l’application, le vapoteur pourra calculer ses dépenses et surtout les économies réalisées grâce à son IECIG !
"Quand les loisirs sont abordés d’une main de maître, pourquoi s’en privé ?" conclu Monsieur DESMOIRES.
QuietSmoke propose pour cet été 2014, l'IECIG au prix de 44.90€ avec le code remise : IECIG2014.

mardi 1 juillet 2014
L'e-cigarette contre la connivence et le summum du Cool.

L'e-cigarette contre la connivence et le summum du Cool.

On attendra donc le mois de septembre pour que notre gouvernement sorte sa loi punchy pour lutter contre le tabagisme en interdisant les e-cigarettes dans les lieux publics.
On ne peut quand même s’empêcher de prendre tout le monde à contre-pied, à cause ou grâce, justement, à l’e-cigarette (tout dépendra de quel pied vous vous êtes levés ce matin !). En effet, lutter contre le tabagisme en dénonçant une des principales raisons de la chute de la consommation de tabac, est une aberration, à défaut d’être une aberration politique. Il est évident que la ministre de la santé (comme ses prédécesseurs) a le fondement entre deux chaises car elle oublie ou au moins omet l’essence même de son portefeuille ministériel : la santé.  
En toute bonne conscience, partons d’un postulat béni oui-oui totalitaire et/ou stalinien (veuillez rayer les mentions inutiles ou garder le tout) et pour le moins ultra simpliste, qui consisterait à refaire le coup de la prohibition sur l’alcool en 1930 aux USA : la meilleure loi contre le tabagisme serait d’interdire tout simplement la commercialisation du tabac ainsi que de fumer pour tout le monde !
Cela avait-il changé la donne à cette époque sur l’alcool ? Cela avait surtout développé un marché parallèle florissant avec une demande de folie et une fabrication artisanale avec tous les défauts que ce genre de modalité engendre. Pire, la prohibition avait rendu la consommation d’alcool, notamment dans les clubs illégaux, cool. Le summum du branché était donc de s’encanailler et de s’enivrer au nez et à la barbe des autorités, ne serait-ce qu’au fond, pour défendre son droit et ses croyances en la liberté individuelle de choisir (j’écris ça la main sur le cœur…).
En rendant légale la vente d’alcool et surtout en taxant le produit, les états à tendances démocratiques ont rempli leur mission de défenses des libertés sous toutes ses formes, ainsi que les caisses du Trésor Public. En ce qui concerne le tabac, on parlera de 13 milliards d’€ quand même. Tout le monde il est content.
Si l’on interdit la cigarette et le tabac purement et simplement, le problème ne sera pas réglé : il empirera. Le côté cool l’emportera, notamment sur la jeunesse, qui verra la cigarette (et honnêtement qui l’a toujours vu) comme le moyen de lancer un gros Fuck à l’establishment et surtout à leurs parents ! Et d’un autre côté, l’État perdra la main sur une manne de pognon en laissant le champ libre à une mafia déjà bien présente sur ce marché. Ça, ce n’est pas possible.
Si vous êtes arrivé à tout lire jusque-là, vous devez vous dire : d’accord, merci pour le pseudo cours d’histoire, mais et la santé dans tout ça ? C’est là que j’aurais bien envie de vous envoyer chier, mais ça serait contre-productif, je pense…
La santé vient bien après ; d’abord, le pognon et ensuite l’argent...
Dans le cas de la cigarette, l’industrie du tabac représente plus de 490 milliards de dollars de chiffre d’affaire depuis 2013 pour les quatre principaux  acteurs du marché. Plusieurs dizaine de millions de personnes travaillent par ou pour l’industrie du Tabac dans le monde, le bénéfice des 4 acteurs principaux est évalué à 10 milliards d’euros par an. Ceux sont des chiffres qui dépasse l’entendement du commun des mortels mais qui sur le papier et sur un bilan financier veulent dire beaucoup !
« Quand on parle pognon, à partir d’un certain chiffre tout le monde écoute »                  Michel Audiard, grand clopeur devant l'éternel.
La liberté s’arrête où commence celle de l’État quand il commence à ne plus gagner d’argent. Ou pire : à en perdre.
En effet, le souci principal en ce moment pour l’État n’est pas forcement de faire  baisser le nombre de fumeur (qui sont considérer là comme des clients) mais surtout de baisser le nombre de décès et de malade dus au tabac (qui ici sont considérés comme des patients). L’équation devient donc plus facile à comprendre, pour l’État, Français en l’occurrence : un client te paye, un patient te coûte.
C’est là que le bât blesse : l’e-cigarette fait baisser le nombre de fumeur, donc de client, mais pas forcément le nombre de patient, 30 000 cancers par an déclarés dus au tabac ; ce chiffre étant en forte augmentation depuis 2010.
Le coût total des patients du Tabac est estimé à 47 milliards d’euros par an. Contre 13 milliards de rentrée par les taxes sur le tabac, le compte est vite fait.
L’e-cigarette fera baisser, voir annihilera, on peut rêver, le nombre de patient mais seulement dans plusieurs années, peut-être même une génération. En attendant, le nombre de patient sera sensiblement le même, leur coût le sera également. En réagissant à court terme, en stigmatisant de façon réactionnaire l' e-cigarette, l’industrie du tabac et l’État français regardent donc dans le même sens, évidemment pas pour les mêmes raisons et conséquences. Mais en suivant le vieil adage « l’ennemi de mon ennemi est mon ami », la frêle alliance entre ces deux entités, contre l’e-cigarette est basée sur un besoin de freiner des pertes probables.
Et donc, concernant la santé ? Honnêtement, la santé n’est pas au cœur du sujet et ne le sera jamais tant que la connivence entre l’industrie et les états est établie.
Empêcher les jeunes de commencer à fumer par des interdictions de la cigarette dans les lieux publics ? Conneries : ce n’est pas parce que tu ne vois plus le problème qu’il n’existe plus. On voit bien que le problème économique d’un État va bien au-delà de la santé de ses concitoyens. On a connu ça en 1914 et 1939, mais je m’égare.
L’E-cigarette n’est pas un remède, mais bien le produit qui amorcera la chute des décès dus au cancer du poumon : de ça j’en suis persuadé.
Mais, avant tout, au niveau de la santé, le tabac c’est un peu comme le Tic-Tac-Toe (ou Morpion, en français) cet étrange jeu où pour gagner, il ne faudrait pas y jouer. C’est lorsqu’on commence à voir plus de mort que de naissance que l’on comprend les règles du jeu. Mais, là,  tu fais bien comme tu veux.
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